vendredi 26 mars 2010

Année Mère Saint Augustin



Dans le cadre de l'année consacrée à Mère Saint Augustin, où nous célébrons les 150 ans de sa mort, le 20 mars à Lyon nous avons organisé une soirée débat sur le thème:

"La vie ne prison... quel sens pour une vie?"...

"En mémoire de tous ceux et celles qui ont oeuvré pour une vie plus humaine en prison"


"Très émouvant d'entendre Mr Faivre d'Arcier raconter le parcours de cette femme si discrète devenue Mère Saint Augustin, oeuvrant dans les prisons de l'époque, pour aider les prisonniers..."

"André donne avec maîtrise et courage les exemples vécus dans la solitude...mais il raconte aussi son beau chemin de foi à travers l'aide apportée aux autres détenus étrangers..."

"Isabelle le Bourgeois donne l'état des lieux et encourage les participants à une prise de conscience responsable..."

"... la centaine de participants est secouée par la force de ces paroles."

Cette soirée débat a été suivie d'un spectacle musical et multimédia "Si Dieu existait" d'Eric Julien

" Spectacle mettant en scène le vécu carcéral de quatre personnes et leur bouleversante rencontre d'un Dieu personnel qui donne sens à toutes nos expériences les plus pénibles soient-elles!"

"Ce spectacle est mieux qu'un spectacle. Malgré la profondeur du propos et les drames évoqués, tout est léger comme le souffle de la brise, le souffle de l'Esprit"






1 commentaire:

  1. J'attendais beaucoup de ce débat,de l'information et de réponses à mes questions. Introduit avec brio par soeur véronique, on entrait tout de suite dans cet univers carcéral bien méconnu et bien obscur pour nous "les personnes de l'extérieur...
    cette introduction suivie des témoignages d'André et d'Isabelle, a commencé pour me faire reflechir sur le sens d'une vie en prison... j'ai compris que votre mission à vous toutes est un don du Seigneur... il n'est pas donné à tout le monde de savoir écouter, d'attendre, de discerner un signal de révolte ou d'apaisement...
    Je me suis demandée aussi, comment ne pas comprendre cette descente "aux enfers" après tant d'humiliations.
    je me suis demandée comment ils pouvaient reprendre espoir avant et après la liberté retrouvée. Je crois que c'est là que le monde exterieur peut intervenir...
    Il me reste en mémoire les derniers mots d'André "la blessure demeure toujours et le pansement la recouvre à moitié après la liberté reconquise"
    Le spectacle qui a suivi m'a confirmé avec le choc épouvantable des images, adouci par la voix et les textes d'Eric Julien, que la prison, avec le temps, pouvait être le lieu où nous tous, nous apprendrions à tenir ensemble pour vivre le nécessaire: le pardon et la grâce de Dieu"
    une amie

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